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 Sinéad ∆ la connerie, c'est la décontraction de l'intelligence. Alors, parfois, je me permets d'être con sciemment.

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Sinéad ∆  la connerie, c'est la décontraction de l'intelligence. Alors, parfois, je me permets d'être con sciemment.  Empty
MessageSujet: Sinéad ∆ la connerie, c'est la décontraction de l'intelligence. Alors, parfois, je me permets d'être con sciemment.    Sinéad ∆  la connerie, c'est la décontraction de l'intelligence. Alors, parfois, je me permets d'être con sciemment.  EmptyJeu 15 Jan - 0:15

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Sinéad Morphée Black
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NomSi j'ai porté le nom de Gustafsson pendant mes seize premières années, je porte désormais fièrement le nom de mon père : Black Prénom(s) Sinéad Mophée Date de naissance17 Mai Âge17 ans MaisonGryffondor Métier •  écrire ici, si adulte AvatarCara Delevingne CréditTumblr

EpouventardDes chaînes qui viennent m’enserrer, me priver de ma liberté de mouvement. De ma liberté tout court. PatronusUn colibri Matière préféréeSACM Matière détestéeHistoire de la magie Rêve d'avenirVoyager, tout en travaillant à la réserve. Elle se voit bien partir à la recherche de nouvelles espèce à protéger ou encore aller sauver des créatures en danger. Certaines créatures de la réserve des Gustafsson, sont des animaux maltraité et/ou abandonné qu'ils n'hésite pas à aller rechercher très loin.
..IL ETAIT UNE FOIS..
..IL Y A BIEN LONGTEMPS.
.

Le bras en écharpe, le visage tuméfié, je m'avançais péniblement dans le cimetière. Je portais sur moi les traces de la bataille finale qui avait lieu quelques jours plus tôt. Mais à l'heure où l'on célébrait la victoire, mon esprit était plus morose. Je me stoppais enfin devant l'une des pierres tombales. Imposante, taillé dans une pierre d'un noir intense, on pouvait y lire en lettre d'argent le nom de son occupant : Sirius Black. Un instant, je la contemplai sans dire un mot puis, je finis par m'asseoir tant bien que mal dans l'herbe juste devant elle. Je restai encore un instant sans rien dire. Sans doute un peu gênée ou ne sachant pas par où commencer. Puis, après un léger raclement de gorge, je me lançais d'une voix faible. « Hum...Salut Sirius. Je ne sais pas trop par où commencer ou même comment m'y prendre. Il faut dire que jusqu'à présent parler à une pierre tombale ne faisait pas partie de mes habitudes. » J'émis un léger rire gênée avant de me lancer. « Alors, heu. Mon nom est Sinèad Morphée Gustafsson, mais la plupart des gens m'appellent Sin. Mon nom de famille te dit probablement quelque chose. Tu as connu ma mère. Tu étais plus ou moins avec elle quand... quand tu as été envoyé à Azkaban. Même si après cet épisode, elle ne t'a plus donné signe de vie. Non. Elle à ce moment de vos vies, était plus préoccupée par son image et le quand dira-t-on. Elle ne t'a probablement même pas laisser t'expliquer ou à t'a simplement ignorer. Cette sale petite garce égocentrique et superficielle. » Je me stoppai nette réalisant que je m'énervais toute seule. Je repris donc mon calme, avant de reprendre. « Désolée. Tu comprendras surement au fil de mon récit que je ne la porte pas spécialement dans mon coeur. Bref, où en étais-je. Ah oui. Ton incarcération à Azkaban et les répercussions que cela eues. Ma chère génitrice a donc décidé de disparaître purement et simplement. Elle a choisi d'aller se réfugier dans le pays d'origine que mes grands-parents avaient fui dés leur plus jeune âge, la Suède. Comme bon nombre de pays nordiques les idéaux et la politique y sont plus que stricts et élitistes et c'est pour plus de tolérance et souplesse que mes grands-parents ont décidé de venir au Royaume-Uni. M'enfin je m'égare du sujet initial là. » Nouvelle pause. Je retrouvais ma respiration tout en prenant mon souffle. Mes doigts trituraient machinalement un brin d'herbe. Il fallait que je me lance, que je lâche tout. J'étais venue là pour ça. Certes, ce n'était pas commun de déballer l'histoire de sa vie à un mort ou plutôt à sa tombe. Mais, il fallait que ça sorte. J'avais attendu ça depuis tellement longtemps. Alors, certes, je l'imaginais autrement. Je pensais qu'il serait là devant moi, en chair et en os, bien vivant. Mais que voulez-vous la vie est cruelle. Finalement, après un moment, je finis par lâcher la bombe. « Tu te demandes probablement pourquoi je te raconte tout ça. Alors autant, le dire tout de suite. Je suis ta fille ! Ouais, je sais plutôt gros à encaisser. Hein...Enfin, de là où tu es ça ne doit pas changer la face du monde. Mais en tout cas, ça change le mien. C'est pour ça que je suis là, aujourd'hui. J'avais besoin de te le dire. J'aurai tellement voulu qu'on apprenne à se connaitre, qu'on se rencontre. J'ai passé ma vie à t'attendre, à te chercher, à te rêver. Malheureusement, je crois que pour ce qui est de te connaitre, ...» Ma voix faibli jusqu'à disparaître laissant ma phrase en suspend. Pour toute fin, elle eut un sanglot. Je marquais un arrêt de plusieurs minutes. Le temps de rassembler un peu mes esprits et d'essuyer les larmes qui courraient le long de mes joues. Si quelqu'un venait à me voir, il me prendrait surement pour une folle de me voir ainsi converser avec une tombe. Mais qu'importe, je m'en fichais de ce qu'on pouvait dire. J'avais retrouvé mon père. Et même s'il était trop tard pour le rencontrer et apprendre à le connaitre, et bien, lui saurait qui je suis. Je reniflai et pris une grande bouffée d'oxygène avant de reprendre. « Je suis, donc, née en Suède quelques mois après ton emprisonnement. Ma mère ayant préféré fuir le Royaume-Uni pour être sûr que personne ne sache que tu étais le père de l'enfant qu'elle portait ou même que l'on sache qu'elle t'avait fréquenté. De toute façon, il n'y avait rien qui la retienne ici. Son caractère de princesse capricieuse, égocentrique et superficielle avait déjà eu raison de tout son entourage, y compris sa propre famille. Je doute même que si les choses s'étaient passées autrement pour toi, vous soyez resté ensemble très longtemps. J'y ai passé les neufs premières années de ma vie. Et même, si j'aime ce pays de tout mon être, les années que j'y ai vécu furent loin d'être les plus heureuses de ma vie. On aurait pu croire qu'une fois là-bas. Ma génitrice aurait pu tout simplement oublier toute cette histoire et m'élevait normalement, en me racontant un quelconque mensonge sur toi. Mais non. C'était visiblement au-dessus de ses forces. Elle avait cette expression dans les yeux dès qu'elle me regardait, mêlant dégout, mépris et honte. Elle n'a pas eu le courage de m'abandonner à la naissance ou même d'avorter. Non, elle n'avait que la lâcheté de m'ignorer, de me mépriser. Ma présence ou plutôt le simple fait de mon existence l'insupportait et l'insupporte, probablement encore. Quant à son compagnon Nikolaï, il n'était pas mieux. Il ne supportait simplement pas l'idée qu'elle ait pu avoir un enfant avec quelqu'un d'autre et encore plus avec quelqu'un comme toi. J'ai entendu tout sur toi. Si tu savais les ignominies, les insultes et les mensonges qu'ils m'ont dit sur toi. Ils n'ont jamais pris la peine de m'épargner leur avis. Ce n'est pas comme s'il sa préoccupait de l'effet que ça pouvait avoir sur moi. Après tout, je n'étais que la bâtarde d'un criminel. » Mon ton s'était plus dure, plus froid et surtout amer. Merlin que je les haïssais tous les deux. Je déglutis rageusement en pensant à eux, comme pour ravaler le flot de rage que j'éprouvais à leur égard. « Autant te dire, qu'ils ne se sont pas donnés la peine de s'occuper de moi. Ils se contentaient simplement de tolérer ma présence et de refiler ma charge à des gouvernantes qui défilaient les unes, après les autres. Et c'était sans doute mieux ainsi car en ma présence ils ne pouvaient s'empêcher de déverser leur haine. Des mots, de simples mots. Mais parfois ils peuvent faire plus mal que des coups. Et plus ils me disaient tout le mal qu'ils pensaient de toi et de moi, plus je voulais te connaître. Plus je voulais en savoir sur toi. Je me persuadais que tu ne pouvais pas être pire qu'eux. Je voulais croire qu'au moins l'un de mes parents se préoccupait de moi. Alors, je me suis mise à t'imaginer, à te rêver. J'ai sans doute idéalisé, mais qu'importe. Alors pour les emmerder un peu plus, je me suis mise à poser des questions. Toujours plus de questions. On me répondait que tu étais un déchet de la société, violent meurtrier et traître. Je ne sais pas combien de fois, ils me l'ont craché à la figure mais jamais, ils ne m'ont dit ton nom. » Au fil du récit, je m'emballais par ma propre histoire. Ma voix s'accélérant au rythme des événements, les intonations changeaient elles-aussi. Tout cela, je le gardais depuis bien trop longtemps. Emportée par le besoin de tout lâcher, je vidais désormais mon sac. Le regard dans le vide sur ta stèle, tantôt ampli de larme, tantôt ampli de colère. « Puis, le jour de mon neuvième anniversaire, lors d'une énième tentative pour savoir qui tu étais tout à dégénérer. Ils m'ont servi le refrain habituel et je me suis énervée. J'hurlais, je pleurais et surtout j'ai tout fait exploser. La baie vitrée du salon et les étagères en verre du vaisselier remplie de toutes sortes d'objets ayant appartenus à ses parents. Ce qui n'avait pas explosé, s'était cassé en tombant. Ce n'était pas la première fois que mes pouvoirs s'exprimaient. Mais ce fut sans aucun doute la plus impressionnante et violente. Après cela tout a dégénéré en un instant. Nikolaï s'est mis dans une rage folle, à tel point que les mots ne lui ont plus suffit pour me blesser. La gouvernante, qui avait miraculeusement réussi à garder son poste plus de quelques mois, s'est interposée tandis que ma mère regardait la scène sans un mot, inexpressive. La nourrice a fini par repousser Nikolaï et elle m'a emmené avec elle. Ce jour-là, j'ai utilisé un port-au-loin pour la première fois. J'ai aussi quitté la Suède pour la première fois. J'ai mis les pieds en Irlande pour la première fois. Et j'ai rencontré mes grands-parents, mes oncles et tantes et toute ma famille pour la première fois. Oui, ce fut une journée chargée. » Je repris ma respiration avant de continuer mon récit. « C'est étrange la vie, tu ne trouves pas. Je ne les avais jamais vus et pourtant en quelques heures, ils m'ont donné plus d'attention et d'amour que ma propre mère en neuf ans. » Un rire sans joie s'échappa de mes lèvres, alors que je marquais à nouveau une pause. Puis, mon visage assombri sembla s'illuminer et mon ton se fit plus léger. « A partir de ce jour, mon enfance à débuter. Je sais que jusque là mon récit n'a pas été très joyeux. Mais, sache-le, je ne suis pas à plaindre. J'ai une famille, une grande famille. Des grands-parents, des oncles et des tantes et toute une ribambelle de cousins et cousines. Le moins qu'on puisse dire c'est que les Gustafsson ne sont pas une famille comme les autres. Mais ça, tu le sais. Tu as connu certains membres de ma famille, ils faisaient parties de l'ordre comme toi. Alors tu sais, que nous vivons sur une île au large des côtes irlandaises. Tu sais déjà que cette île n'héberge pas que ma famille. C'est une réserve de créatures et animaux magiques. Si seulement, tu avais pu la voir ne serait-ce qu'une fois notre île. Elle est merveilleuse. On y trouve des dizaines de créatures en tout genre : Abraxans, hyppogriffes, demiguise, fléreur, dirico, vivet dorée, etc... Bref. La famille élève, s'occupe et protège toutes sortes de créatures plus ou moins rares et/ou dangereuses. Et sur les trois îlots qui l'entourent, il y a même des dragons. J'aime profondément cette île et on pourrait difficilement avoir mieux comme cadre de vie pour grandir. » A la pensée de l'île et de ma famille, je rayonnais. Oui, j'avais eu de la chance. J'avais une famille formidable et un cadre de vie que beaucoup envierait. « Pourtant, cela ne m'empêchait pas pour autant de me poser des questions sur toi, mais je ne leur en parlais pas de peur de les blesser. De peur qu'ils croient qu'ils ne me suffisaient pas. Je ne voulais pas leur faire de peine. Et soyons, honnête, j'avais des tonnes de questions, mais tellement peur des réponses. Je t'avais tellement idéalisée, que se serait-il passé si les réponses à mes questions n'étaient pas celles que j'attendais. » Je fis une pause, repensant à cette période merveilleuse un léger sourire étirant mes lèvres. Puis, reprenant mes esprits, je continuais mon discours. « Puis, il y eut Poudlard. Le choixpeau n'a pas mis trente secondes avant de m'envoyer chez les rouges et or. Il semblerait que j'ai hérité de certains traits de ton caractère, au plus grand malheur de MacGonagall et de l'ensemble des professeurs. Durant ma deuxième année, tu t'es échappé d'Azkaban. Ton nom était sur toutes les lèvres et ton histoire dans tous les journaux. C'est cette année-là, que j'ai compris que tu étais mon père. Ton histoire était mot pour mot celle que Nikolaï et ma mère m'avait raconté avec plus ou moins de cruauté. Je me souviens avoir envoyé un hibou à ma mère, c'était la première fois que j'entrais en contact avec elle depuis mes neuf ans. Mais, elle n'a jamais confirmé ton identité. J'étais paumée. Je ne savais pas quoi ou qui croire et surtout j'ignorais si tu connaissais ou non mon existence. Je savais que tu rôdais autour de Poudlard à cause d'Harry Potter et ça me rendait folle. Je me suis persuadée que tu ne connaissais pas mon existence. Cela faisait moins mal que de se dire que tu ne savais pas, plutôt que tu préférais rentrer en contact avec lui, au lieu de moi. Mais, le doute persistait et si je me trompais?! Et puis, je n'avais aucun moyen de rentrer en contact avec toi. Je cherchais désespérément une preuve formelle et je n'ai pas eu le temps de la trouver. Le temps a passé si vite. L'année d'après Harry annonçait le retour de Voldemort et peu à peu le chaos s'est emparé du monde magique. Alors que moi je grandissais et ma crise d'adolescence m'a apporté un sentiment tout nouveau. La rage. Je prenais conscience de ce qu'avait été mon enfance avec ma mère et Nikolaï et je les haïssais. Je me suis mise secrètement à jalouser les familles parfaites. Je prenais conscience de ma différence. Je n'avais pas de père et une mère qui se fichait bien de moi. Ce manque de parent et surtout d'amour parental à commencer à se traduire par un besoin de me faire remarquer. Et si je m'étais déjà montrée turbulente par la passée, je suis devenue maitre dans l'art. Et malheureusement pour les nerfs du corps enseignant du château, ça ne m'est jamais passé depuis. » Je sortis une bouteille d'eau de mon sac posé à mes côtés et en avalait une grande gorgée. « Lorsque le retour du Lord a été rendu officiel tout s'est encore accéléré. Mes oncles et tantes ont rejoint l'ordre, alors que mon grand-père, trop accablée par la mort ma grand-mère survenue durant l'été, proclama qu'il était trop vieux pour une nouvelle guerre. En quelques mois, il avait vieilli d'un coup, alors il est resté sur son île, la protégeant de toutes sortes de sorts et se disant prêt à accueillir des réfugiés. Quant à moi, je continuais à te chercher toujours en ne disant rien à mon entourage. J'ignorais qu'il était déjà trop tard. J'assistai également à la déchéance du monde sorcier avec ce sentiment de révolte qui me bouffait de l'intérieur. Et si déjà, j'avais fait partie de l'AD, désormais, je m'appliquais à emmerdais chaque jour un peu plus les Carrows qui avaient pris la tête de l'école. J'ai d'ailleurs passé une bonne partie de l'année dans la salle sur demande pour éviter les punitions ou plutôt sévices. Puis, un jour alors que peu à peu nous perdions espoirs, Harry est arrivé amenant avec lui la promesse d'une fin imminente. » A nouveau, je m'arrêtai mais cette fois-ci mon expression était plus grave et un voile vint se déposer sur mes yeux. « La bataille est arrivée. Je ne saurai pas te la décrire précisément, tout est encore flou. La panique, la peur dominait. Même si l'ordre était présent, ainsi que les professeurs, nous n'étions en grande majorité que des gamins qui affrontions des mangemorts confirmés. Je me souviens du chaos qui régnait. Des corps qui tombaient sans vis sur le sol, des cris, des lumières des sorts, du château qui s'écroulait peu à peu. Je me suis battue. Autant que j'ai pu, je me suis battue. » Tout en continuant de parler, un torrent de larmes venait ravagé mes joues bleuis. « Je ne sais plus réellement comment mais au fil du combat, je me suis retrouvée devant l'horloge au-dessus des grandes portes. J'étais déjà bien amochée quand j'ai reçu le sort qui m'a propulsé au-delà des garde-corps. Je ne me souviens pas mais oncle Jorgen m'as dit que quelqu'un a amorti m'a chute à l'aide d'un sort et que c'est pour ça que je suis encore là. Je n'ai pas assisté à la fin de la bataille, j'étais inconsciente. Je n'ai pas vu Voldemort arrivé en vainqueur, ni Harry se relever. Je n'ai pas vu la fin de la bataille. Je me suis réveillé plusieurs jours plus tard à Ste-Mangouste. C'était il y a trois mois, maintenant. » Je fis une longue pause pour reprendre mes esprits. Tout ça me semblait encore tellement irréel. A la fois si proche et si loin. Après un long moment et une fois que j'eus sécher mes larmes, je repris. « Maintenant, tout est différent. Du moins, mon point de vue sur tous ce qui m'entoure. Je suppose que c'est normal, que c'est le prix à payer. Du coup, j'ai décidé qu'il était temps. Temps que je pose ces questions qui me consument de l'intérieur depuis si longtemps. Alors, j'ai demandé à mon grand-père et au reste de ma famille. J'ai demandé qu'il me confirme ton identité. J'ai demandé si j'avais raison. Ils étaient incapables de répondre, mais comme j'ai dû te le dire plus tôt, ma famille est formidable. L'un de mes oncles et mon grand-père sont allés en Suéde et ont réussi à faire parler ma mère. Elle leur même donné des papiers sur lequel ton nom est écrit. C'est là en noir sur blanc. Alors ils m'ont tout dit. Ils m'ont raconté qui tu étais. Et tu sais quoi ? Finalement, les réponses à mes questions sont bien mieux que ce que j'avais imaginé. » Un sourire aux lèvres, je contemplai le nom de mon père, comme la huitième merveille du monde. « Voilà, papa. Tu sais tout maintenant. » Je restai encore un moment avant de me relever. Je ramassais mon sac et me tenais debout devant la tombe encore un instant. Avant de conclure. « Je dois te laisser maintenant. J'ai rendez-vous au ministère. Désormais, tout le monde connaît ton histoire. Ta vraie histoire. Mais ça ne me suffit pas. Alors j'espère que ça ne te dérangera pas, papa, mais j'ai envie de leur clamer haut et fort que je suis ta fille. Tout à l'heure en sortant du ministère, je serais Sinéad Morphée Black. » Sur ces dernières paroles, je sortais ma baguette et d'un mouvement ample, fit apparaître des fleurs blanches tout autour de la tombe, avant de partir, non sans un dernier regard.


Sinéad ∆  la connerie, c'est la décontraction de l'intelligence. Alors, parfois, je me permets d'être con sciemment.  Slytherin-slytherin-7748834-100-100
Sinéad ∆  la connerie, c'est la décontraction de l'intelligence. Alors, parfois, je me permets d'être con sciemment.  Hufflepuff-hogwarts-7685124-100-100
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Ton prénom ou surnomSisley Ton âge 23 ans (pfiou, je suis vieilleuh...) Que penses-tu du forum ?Je déteste. Non mais franchement, il est vraiment nul. Une grosse bouse de dragon. D'ailleurs, c'est pour ça que je me suis inscrite  Rolling Eyes  lol! T'es arrivé là comment ?Via PRD Un dernier mot Jean-Pierre ?D ! La réponse D. C'est mon ultime bafouille !  Rolling Eyes
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Dernière édition par Sinéad M. Black le Jeu 15 Jan - 10:12, édité 2 fois
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Mackenzie Delcourt
Mackenzie Delcourt

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AHQUEBIENVENUEOFFICIELLEMENT! Sinéad ∆  la connerie, c'est la décontraction de l'intelligence. Alors, parfois, je me permets d'être con sciemment.  210300411 Sinéad ∆  la connerie, c'est la décontraction de l'intelligence. Alors, parfois, je me permets d'être con sciemment.  849602833 Sinéad ∆  la connerie, c'est la décontraction de l'intelligence. Alors, parfois, je me permets d'être con sciemment.  835336321
Comme je te l'ai déjà dit, j'adore ton histoire et ton style d'écriture! Sinéad ∆  la connerie, c'est la décontraction de l'intelligence. Alors, parfois, je me permets d'être con sciemment.  1683048554
Je te souhaite bonne chance pour le reste de ta fiche: N'hésite surtout pas si tu as besoin de quoi que ce soit Sinéad ∆  la connerie, c'est la décontraction de l'intelligence. Alors, parfois, je me permets d'être con sciemment.  2285843945
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Hiiiiii merci Sinéad ∆  la connerie, c'est la décontraction de l'intelligence. Alors, parfois, je me permets d'être con sciemment.  328903424 Sinéad ∆  la connerie, c'est la décontraction de l'intelligence. Alors, parfois, je me permets d'être con sciemment.  210300411

Pour l'instant, pas de question. Je suis même plus rapide que le dernier nimbus parce que j'ai tout fini ma fiche M'dame ! Sinéad ∆  la connerie, c'est la décontraction de l'intelligence. Alors, parfois, je me permets d'être con sciemment.  1171800739 Sinéad ∆  la connerie, c'est la décontraction de l'intelligence. Alors, parfois, je me permets d'être con sciemment.  814010078
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Mackenzie Delcourt
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Tout est parfait pour moi, je te valide donc avec plaisir! Sinéad ∆  la connerie, c'est la décontraction de l'intelligence. Alors, parfois, je me permets d'être con sciemment.  328307183
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MessageSujet: Re: Sinéad ∆ la connerie, c'est la décontraction de l'intelligence. Alors, parfois, je me permets d'être con sciemment.    Sinéad ∆  la connerie, c'est la décontraction de l'intelligence. Alors, parfois, je me permets d'être con sciemment.  EmptyJeu 15 Jan - 9:51

Cool !

Sinéad ∆  la connerie, c'est la décontraction de l'intelligence. Alors, parfois, je me permets d'être con sciemment.  3826000750 Sinéad ∆  la connerie, c'est la décontraction de l'intelligence. Alors, parfois, je me permets d'être con sciemment.  1683048554 Sinéad ∆  la connerie, c'est la décontraction de l'intelligence. Alors, parfois, je me permets d'être con sciemment.  1171800739 Sinéad ∆  la connerie, c'est la décontraction de l'intelligence. Alors, parfois, je me permets d'être con sciemment.  3166917192 Sinéad ∆  la connerie, c'est la décontraction de l'intelligence. Alors, parfois, je me permets d'être con sciemment.  328903424 Sinéad ∆  la connerie, c'est la décontraction de l'intelligence. Alors, parfois, je me permets d'être con sciemment.  1160970720 Sinéad ∆  la connerie, c'est la décontraction de l'intelligence. Alors, parfois, je me permets d'être con sciemment.  328307183 Sinéad ∆  la connerie, c'est la décontraction de l'intelligence. Alors, parfois, je me permets d'être con sciemment.  210300411 Sinéad ∆  la connerie, c'est la décontraction de l'intelligence. Alors, parfois, je me permets d'être con sciemment.  835336321 (non, je ne suis pas une accroc du smiley !)
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Pardonne moi pour le retard *sort*

Bienvenue parmi nous !!!
C'est vraiment un super personnage que tu as là !
Amuses-toi bien sur AKB Sinéad ∆  la connerie, c'est la décontraction de l'intelligence. Alors, parfois, je me permets d'être con sciemment.  814010078
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Ivy K. Lockwood
Ivy K. Lockwood

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Bienvenuuue Sinéad ∆  la connerie, c'est la décontraction de l'intelligence. Alors, parfois, je me permets d'être con sciemment.  2287073914 Sinéad ∆  la connerie, c'est la décontraction de l'intelligence. Alors, parfois, je me permets d'être con sciemment.  1215077300 Sinéad ∆  la connerie, c'est la décontraction de l'intelligence. Alors, parfois, je me permets d'être con sciemment.  2285843945 Sinéad ∆  la connerie, c'est la décontraction de l'intelligence. Alors, parfois, je me permets d'être con sciemment.  3166917192 Sinéad ∆  la connerie, c'est la décontraction de l'intelligence. Alors, parfois, je me permets d'être con sciemment.  3826000750 Sinéad ∆  la connerie, c'est la décontraction de l'intelligence. Alors, parfois, je me permets d'être con sciemment.  328903424
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Sinéad ∆ la connerie, c'est la décontraction de l'intelligence. Alors, parfois, je me permets d'être con sciemment.

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